Olivier Peyrebrune

pianiste

Originaire du Périgord, le pianiste Olivier Peyrebrune débute ses études musicales au Conservatoire National de Région de Bordeaux où il fréquente les classes de piano, violon, formation musicale et écriture.

 

Il est admis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) dans la classe de Dominique Merlet où il obtient un Premier prix de piano à l’unanimité avec les félicitations du jury. Il remporte, dans ce même établissement, deux premiers prix de musique de chambre ;  l’un dans la classe de Christian Ivaldi et Alain Planès (trio avec piano), l’autre dans celle de Bruno Pasquier (sonate avec violoncelle) puis, intègre, sur concours, le cycle de perfectionnement dans la classe de piano de Jacques Rouvier.

Il reçoit notamment les conseils et les encouragements de Jeanne-Marie Darré, Gyorgy Sebök, Eugene Istomin, Wladimir Krainev, Charles Rosen, Dmitri Bashkirov et il est invité en résidence à la prestigieuse fondation “ Théo Lieven ” à Como (Italie).

 

Lauréat de plusieurs concours, il se produit en France et à l’étranger, en soliste et sous la direction de différents chefs tels que Vitaly Kataïev, Jean-Jacques Kantorow, Jaap Schröder et Mark Foster. Il participe à de nombreux festivals comme Les Arcs, Piano en Saintonge, Festival du jeune soliste d’Antibes, Festival de Radio France Montpellier, Flâneries musicales de Reims, Festival du Périgord Noir ou encore La Roque d’Anthéron.  

 

Il a enregistré pour France Télévision, Mezzo, France Culture, France Musique et également pour de nombreuses radios étrangères. Parmi ses réalisations importantes, une intégrale des Sonates pour piano de Beethoven dans le cadre de la saison musicale de l'Orchestre de Caen. 

 

La discographie de cet artiste « inquiet, raffiné et sensible » (Le Monde de la musique) comprend des œuvres de musique de chambre de Schumann, Saint-Saëns, Lalo, Britten et Dorati, dont l’interprétation est plusieurs fois saluée par la critique (diapason d’or, 10 de Répertoire…). Son disque, Si mineur, est consacré notamment à la Sonate de Liszt et à la 3e Sonate de Chopin pour piano seul,  « un disque magnifique et une interprétation d’une justesse rare » selon la revue Diapason